Comment imaginer il y a un an que le temps filerait si vite… 6 mai 2011, un avion nous déposait à New-York, première étape de notre périple. Nous trouvons que c’est le bon moment de faire une petite pause afin de regarder derrières nous, et de nous rendre compte de ce que nous avons parcouru : New-York, Nouvelle-Ecosse, Quebec, Canada, Alaska, Etats-Unis, Mexique, Belize, Guatemala, Hondura, Nicaragua, Costa Rica. Vu comme ça on pourrait croire que nous n’avons pas beaucoup avancé, mais pourtant nous avons tellement appris des personnes qui ont croisé notre chemin,, tellement vu de paysages grandioses, d’animaux mythiques ; mais peut être le plus important… tout ce que nous avons appris sur nous…
Un an où nous avons du réapprendre tous les gestes du quotidien, et apprivoiser Bernard : notre vie de globe-trotteur a totalement changé notre mode de fonctionnement , même s’il y a toujours le temps école (deux heures au minimum – mais ce temps nous demande d’être présents et nous laisse donc moins de temps pour le reste-) il nous faut aussi faire avec la logistique.
Nous n’avions pas imaginé que cette dernière allait nous prendre autant de temps : on réalise que ce n’est pas toujours évident de ne pas savoir où nous dormirons le soir-même (et surtout d’un endroit où nous ne nous ferons pas déloger…) les repas prennent autant de temps qu’en étant sédentaires, les courses sont plus fréquentes (petit frigo) les lessives moins aisées (une journée de plage c’est une sacrée gestion au retour dans Bernard pour éviter d’en mettre partout) la recherche de l’eau enfin est vitale (d’ailleurs à quoi reconnaît-on un voyageur ? À sa capacité à repérer un robinet à des kms à la ronde !). Finalement nous sommes très recentrés sur des besoins essentiels dont nous ne nous préoccupions même plus en France par habitude et facilité d’accès, et pourtant… Enfin tout ceci se greffe aux aléas mécaniques, aux découvertes qui nous font rester plusieurs heures à un endroit (voire plusieurs jours!), les rencontres qui sont toujours un bonheur etc… voilà la raison aussi de notre « lenteur » nous prenons essentiellement le temps de vivre.
Des automatismes sont acquis: tout bien ranger avant de partir sous peine de le voir valdinguer au premier virage (tiens j’ai des souvenirs d’un plat de pâtes ayant fait l’avion, hum hum…) consommer léger (et donc moins!) ne pas hésiter à jeter des choses inutilisées depuis plusieurs mois (et si, même avec un chargement minimum, on arrive à encore avoir du superflu) etc…
Enfin, nous ne vivons pas de la même façon notre vie en « autarcie » aux USA et au Costa Rica : maintenant, les choses, paradoxalement, sont beaucoup plus simples.
Les enfants sont plus concernés par ces préoccupations basiques : limiter sa consommation d’eau (remarquez vu leur entrain à prendre des douches, parfois c’est l’inverse qui se passe) limiter les besoins électriques (la chasse aux lampes allumées est acharnée, malgré les panneaux solaires) ne pas trop salir leurs vêtements pour éviter des frais en laundromat (ah ah c’était une blague, je voulais savoir si vous suiviez…).
Notre séjour Canada a été pour nous le symbole de la nature (le Yukon reste notre coup de cœur intégral) et surtout du respect de l’environnement. Les animaux dans leur lieu naturel, des sensations fortes qui resteront dans nos cœurs. Les premières rencontres ont été un brin hésitantes : arriver chez des inconnus est un peu intimidant (Micheline, Jacques, Nelly, Serge, Pierre et Hélène, merci pour tout ce que vous nous avez offert : et le plus précieux votre amitié)
Notre séjour aux USA a été le symbole de la surprise et de l’émerveillement face à des paysages fabuleux. Bryce, le Grand Canyon, Arches, Monument Valley entre autres (pour les parcs) nous ont enchanté ; New-York, San Francisco côté ville nous ont séduit. Kim et Paul, merci de votre accueil.
L’Alaska nous aura offert notre première expérience avec les contrées reculées et la nature à l’état pur : Kelly et Micah y ont apporté une amitié sincère.
Nous avons découvert ici aussi une culture du « gigantesque » qui ne nous a pas franchement convaincus… et une démarche peu respectueuse de notre planète qui nous a dérangé tout au long de notre séjour (laisser tourner le moteur du véhicule des quart d’heure entiers pendant que l’on fait ses courses, des déchets jetés un peu n’importe où, une surconsommation générale..)
Nous avons été confrontés à beaucoup de homeless américains dans les villes, transportant le peu d’affaires qui leur appartient encore dans des caddies de supermarché : des discussions et des questions sont apparues (l’argent, le respect de la personne humaine, la solidarité etc…) je trouve les enfants plus soucieux des autres, ils se questionnent, cherchent des raisons/des solutions, s’insurgent, s’indignent parfois ! la peur de l’autre, de la différence, laisse la place à un sourire échangé….
Le mexique aura été le début du « dépaysement «: nous avons découvert des bivouacs sur des plages idylliques, notre plus grande frayeur avec l’attaque de Bétina par des chiens, un mode de vie « léger » mais aussi des régions où la vie est rude (je pense au Chiapas) mais aussi au cadre fabuleux : c’est notre premier contact avec la jungle, Indiana Jones n’a qu’à se rhabiller. Les enfants découvriront des enfants de leur âge, non scolarisés, qui tentent de rapporter quelques pièces au sein de leur foyer en vendant tout et n’importe quoi. Les pyramides et sites archéologiques, nous les aurons pratiquement tous arpentés ! Les enfants étaient déjà calées grâce aux cités d’or, mais ici, ils ont passé leur deuxième degré. La gastronomie locale est adoptée par toute la famille, heureuse de retrouver du pain, et des fruits et légumes délicieux ! Nous sommes devenus les pros du guacamole, tortillas de maïs, quesadillas, tacos (et la coriandre reste bannie par tous les membres de la famille, difficile par ici!). La péninsule du Yucatan est impresionnante de beauté : les plages sont juste sublimes. Nous aurons eu tout de même du mal avec l’hygiène local (ou plutôt son manque d’hygiène) la nature est par endroits recouverte de détritus, des décharges à ciel ouvert, certains étals d’épicerie ont failli aussi me faire tourner de l’oeil.
Le Bélize n’aura été qu’un passage mais grâce au sanctuaire, nous aurons fait la connaissance avec les singes hurleurs, jusqu’à les toucher, inoubliable !
Le Guatemala, en seulement quelques jours nous a charmé : l’accueil est chaleureux, les paysages incroyables. Les marchés sont une découverte pour nous et les couleurs, que ce soit des textiles ou des fruits et légumes, est un ravissement. C’est ici que nous aurons rencontré jusqu’ à présent le plus de sourires, saluts de la main, tous spontanés. Les Guatémaltèques sont fiers de leur pays et ils ont raison : nous reviendrons, je ne sais quand, pour découvrir en profondeur cette pépite qu’est ce pays.
Le Nicaragua et le Honduras resteront inconnus pour nous, 5 jours pour les traverser, qu’en dire ? …
Le Costa Rica, pour nous c’est le début et nous aimons beaucoup !!!
Un an que notre route croise celle d’hommes et de femmes qui, en quelques minutes entament avec nous des discussions impromptues, sur un parking, dans une forêt, au milieu du rayon surgelé, au bord de l’océan, etc… nous offrent spontanément leur aide ou leur amitié, quand ils ne nous ouvrent pas la porte de leur foyer. D’autres voyageurs aussi forment maintenant avec nous une chaîne du voyage où les sentiments sont forts : il nous est impossible de tous les citer, mais ils ont une place privilégiée dans nos cœurs et nos souvenirs à tous.
Un an que nos familles et nos amis ont accepté, bon gré mal gré, notre choix et notre départ : nous savons qu’il est parfois difficile pour eux de nous savoir loin. De notre côté, nous avons aussi quelquefois la gorge serrée de ne pas être aux côtés de ceux que nous aimons et qui vivent parfois des situations difficiles ou au contraire des étapes importantes de leurs vies. Mais nous espérons qu’ils savent à quel point cette aventure était importante à nos yeux et que nous nous devions de partir.
Un an que nous découvrons des modes de vie différents du notre, encore plus depuis que nous descendons en Amérique Centrale… Nous n’avons jamais vécu dans une tour d’ivoire, mais parfois, les conditions de vie dans certaines régions du Mexique, du Guatemala ou du Honduras nous rappelent à l’ordre : nous venons d’un pays riche, où le fruit du travail – dans des conditions humaines – permet généralement de vivre dans de façons décente, l’accès aux soins est généralisé et accessible et la scolarisation est développée. Nous saisissons encore plus notre chance, avec, de temps en temps, une certaine culpabilité à sillonner ces contrées avec toute la richesse que nous transportons dans nos quelques mètres carré…
Un an que nous nous sommes transformés en enseignants. Il y a des jours où on se dit, le CNED, et plus généralement l’instruction en famille, c’est génial ; à d’autres on aimerait bien coller nos chères têtes blondes à l’éducation nationale et ne pas devoir puiser au fin fond de notre patience pour ne pas exploser face à une attitude négative, des notions loin d’être acquises, une mauvaise foi incroyable (euh là je précise c’est un truc typiquement féminin chez les DESREV – note pour plus tard, il va falloir que j’assume d’avoir engendré une fille me ressemblant énormément sur ce point, damned-).
Merlin a beaucoup progressé et est très volontaire. Il lit bien, il se débrouille rudement bien en calligraphie (il a toujours du mal à s’y mettre, traîne les pieds mais au final c’est un champion). Les maths restent tout de même sa marotte.
Bétina quant à elle est égale à elle-même : est douée dans plein de domaines (lecture, rédaction, maths) MAIS est étourdie à en défaillir (ah tiens faut que je rajoute ça sur la liste des trucs héréditaires) papillonne toutes les 30s (maman, si tu fais un seul commentaire je te bannis de skype) est bavarde comme une pie et ne s’arrête jamais de parler (maman, j’ai dit bannie!!!!) et fait un blocage sur l’écriture : il faut savoir que pour notre lutine, écrire deux phrases peut prendre 15mn… et encore ça peut être pire ! Et c’est parti généralement pour des plaintes dignes d’un oscar. Par contre la miss n’éprouve aucune difficulté à écrire, pour son plaisir, des histoires sorties tout droit de son imagination.
Alors oui parfois le temps passé pour l’école m’effraie un peu pour la suite du voyage : arriverons-nous à tenir le niveau ?(je trouve le CE2 rudement dur lol) On a confiance, parfois on flanche, mais heureusement entre Sam et moi on s’épaule sinon bonjour la galère !
Un an, qu’au fil de nos rencontres, nous entendons certaines phrases fréquemment comme : « vous avez de la chance ! » « vous pouvez le faire, c’est super » « un an de vacances pour nous c’est impossible ! » etc… alors maintenant, je n’ai plus de « scrupules » à dire : c’est à votre portée, petit ou grand voyage, dans des contrées lointaines ou juste à côté… à vous de tout bousculer, de fermer les yeux et de tout lâcher, ou de lever la tête pour prendre le temps de regarder ailleurs. ALLEZ SAUTEZ !
Un an que nous vivons en famille, 24h/24 : il faut bien l’avouer, parfois c’est difficile de ne pas trouver de temps pour soi, ou une petite bouffée d’oxygène en solo. Mais la majorité du temps nous dégustons ce temps passé ensemble comme il se doit, un pur nectar d’amour familial. Nos enfants grandissent sous nos yeux : c’était une des raisons de notre décision de partir, profiter d’eux jusqu’à la lie, pendant qu’ils sont « petits » et les aider à prendre confiance en eux, en la vie, en l’humanité et notre planète afin qu’ils deviennent des adultes indépendants, respectueux, libres et citoyens du monde.
Enfin un an et notre inventaire à la Prévert : 1 pare-brise « poqué », 1 direction malmenée, 9 pays traversés, 45 000 kms, 48 degrés d’amplitude de température vécue, 4,5 t de PTAC, des milliers de photos emmagasinées, 1 poignée cassée, 1 paillette d’or trouvée, 2 613 moustiques électrifiés, 3 dents tombées, 2 prises injecteurs changés, 3 filtres à huile, 4 filtres à gasoil, 20 heures passées aux frontières, 0 pneu crevé (c’est à souligner!) 3 chiens qu’on aurait bien dégommé, 4 glaciers admirés, 2 nageurs supplémentaires, 1 paire de mains menotée, 1 inondation, des centaines d’animaux rencontrés, 5 anniversaires, 1 coupe de cheveux ratée, 1 ligament déchiré, ouatemile évalutations CNED envoyées, 2 souris tapettisées, 42O parties de Uno et 210 de petits chevaux, 1 enlisement, 5 engueulades familiales dantesques, fous rire (nombre non communiqué – mais sûrement à trois chiffres) 365 jours d’amour immodéré, de rencontres enrichissantes et émouvantes, de découvertes ininterrompues … et encore tellement à venir : l’aventure continue !
Enfin, surtout pour faire plaisir à la famille, assoiffée de petits détails qui leur manquent, les DESREV c’est en vrac :
Nils parle tellement bien que toutes les petites expressions « faussées » qui nous faisaient craquer s’envolent… adieu les orèles (oreilles) et les petits chuintements «je voudrais manchhhhhher pour manger », mais ouf il nous reste les tartines de mutella et « se casser la marmoulette » ou « regarde, j’ai dessiné un bodomme ».
Merlin est de plus en plus espiègle et nous fait des blagues dès qu’il peut : « malheureusement » son sourire le vend une fois sur deux, et quand ce n’est pas le sourire, ce sont les étoiles dans les yeux lol.
Sam et ses boîtes, son optimisation du rangement qui sera au point certainement à notre retour en France.
Nath qui se cramponne à sa vaisselle en ceramique et ses bols en verre (il paraît que c’est à cause de cela qu’on dépasse notre PTAC)
Merlin et son acharnement à ne pas vouloir aller se coucher, provoquer l’excitation et l’énervement de tout le monde.
Bétina et sa répartie…
Moi : Bétina ça suffit maintenant cette attitude, je ne supporte plus que tu me parles comme ça. Tu arrêtes immédiatement ! (imaginez les décibels, car dans ces cas là, Bernard vibre de toutes parts).
Bétina : ouais, ouais c’est bon…
Moi : comment ça c’est bon ???? mais non ce n’est pas bon, pas bon tu tout !!! tu te tais je ne veux plus qu’un mot sorte de ta bouche !
Bétina muette : mais me lance un regard noir de tueuse à gage
Moi : et tu ne me regarde pas ainsi je te préviens, le regard noir, c’est, copyright Nathalie Desthieux alors tu te trouves autre chose
Bétina baisse les yeux (croise les bras, bat la mesure du pied genre tu me saoules)
Moi : mais enfin Bétina comment veux tu qu’on s’en sorte ? Si tu as quelques chose à me dire, tu arrêtes tes crises d’hystérie et de récriminations, tu utilises des mots ok ?
Bétina muette
Moi : dis donc je t’ai parlé ça te gênerait de me répondre ? Et puis regarde moi quand je te parle
Bétina explose : ouais ben faut savoir ce que tu veux, un coup faut que j’arrête de te regarder, et puis maintenant faut que je te regarde, un coup il faut que je me taise et là tu veux une réponse, pffff j’en ai marre moi !!!
Moi : ……………………….
Nils qui préfère choisir l’option « cris et hurlements » à un explication verbale.
L’incapacité qu’ont nos TROIS enfants à rester à table plus de 10 minutes.
La capacité qu’ont nos TROIS enfants à donner des jouets, des vêtements à des personnes qui en ont plus besoin qu’eux.
Sam et ses blagues/jeux de mots qui désamorcent bien des conflits
Nath, la maîtresse en chef qui gère en grande partie l’école,les évaluations etc…
L’affront de Sam à la mère de ses enfants en lui offrant des pantoufles à semelles « accroche-poussière »
Le côté tire-au-flanc de Nath à ne pas vouloir vider la cassettes des toilettes.
Les parties endiablées de petits chevaux avec Nils
Les parties endiablées de mille bornes avec Merlin (j’ai capitulé pour les dames, je me fais pulvériser à chaque fois…)
L’obsession de Nils et Merlin pour l’ipad et les jeux de construction de villages etc… au détriment parfois du reste…
Le plaisir de Bétina quand elle ouvre un nouveau livre, son excitation à l’idée de passer un moment avec les mots : comme elle nous dit si bien « j’adore me mettre dans ma bulle, encore plus avec Harry Potter »
L’obsession de Bétina quand elle ouvre un nouveau livre : on peut toujours courir pour qu’elle mette la table ou partage un moment avec nous.
Nils qui réclame plusieurs fois par jour un calin/bisou/calin d’amour très fort.
Les petits « bonne nuit » à n’en plus finir dans Bernard, échangés entre tout le monde et les déclarations d’amour toutes douces du soir, chuchotées au creux des oreilles (une fois que tout le monde est à sa place… au bout d’une heure quoi…)
Bétina qui lit des histoires à Nils ; lui lové contre elle.
Merlin qui grandit de 15 cm instantanément lorsqu’il a en charge son petit frère, avec la voix posée et raisonnable qui va avec…
Sam et ses « y’a pas un bruit là ? » et Nath avec ses faux « non, non j’entends rien »
Giga long …. non absolument pas. Giga émouvant et plein de moments de tendresses et si agréable à lire comme si nous étions à vos côtés sans prendre de place. Une chance pour Sam … où nous aurait-il caser ?
Merci d’avoir répondu à mon « bonjour » sur le stationnement du Réno sinon je ne suivrais pas vos pérégrinations !!!. Ce fut un plaisir de vous héberger, je recommencerais n’importe quand !!!.
On continue à vous suivre et au 8 mai prochain pour le second inventaire de hauts et des bas.
Merci et bon vent !!!.
Je ne dis rien, je lis, je remercie pour ce récit qui nous fait être plus près de vous.
Aujourd’ hui,Cesseins, et Lachassagne rassemblés, nous avons parlé de vous, devant un café et un dessert, avec aussi les Mémés, et Tatie Odile. Un temps maussade, ma de la chaleur à se réunir, parfois avec difficulté, cause calendrier de ministre de part et d’ autre.
A bientôt pour d’ autres posts, si attendus, si réjouissants, si importants, vue la distance qui nous sépare, mais à la lecture, nous sommes près de vous. Merci.
On vous aimeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee.
merci, pour ces moments d’évasions….
Continuez ces récits si riches en émotions!!
je vous embrasse
Mélanie
Coucou, il m’a quand même fallu 1 an pour enfin prendre un moment pour vous écrire !!! le temps passe si vite que je me suis dis là tu exagères …. Je vois que tout se passe bien et je suis contente pour vous ; le voyage paraît extraordinaire et vous voyez des choses vraiment superbes !! On apprécie vraiment les photos sont belles. Clémence espère que Merlin Nils et Bétina vont bien et vous fait à tous un gros bisous. Je vous souhaite une bonne continuation et j’essaie de prendre la plume plus souvent !!! bises à tous
salut à vous tous,
J’espere que vous allez bien.
Bravo pour ce texte, c’est tres beau, très émouvant, Nath on ne se connait pas mais t’as une sacrée belle plume !
Au delà de tous ces endroits magnifiques, je crois que ce que je vous envie le plus est résumé dans la formule « …profiter d’eux jusqu’à la lie… »
Alors continuez bien de profiter un max, encore bravo et … sam, vu les compétences que t’es en train d’acquerir en mécanique, j’ai décidé que je n’irai plus jamais chez un garagiste …
La bise
arnaud
c’est trop bien de te lire ma Nath!!! quelle belle famille vous formez et quelle belle aventure vous vivez! ça me rend heureuse de vous savoir heureux et…. oui, ça me fait vraiment très envie tout ça. Qui sait, un jour peut-être nous aurons le déclic et nous prendrons le temps…
en attendant je continuerai à venir lire et voir tout ce que vous partagez si bien.
mille bises.