PANAMA CITY – Dernier acte

Nous serons restes quelques jours encore a Panama, mais sans Bernard sniff… En arrivant le dimanche a l auberge qui deviendra  notre cocon pour ce temps de preparation ( Il faut enlever la caisse qui se trouve a l arriere de Bernard et tout ranger pour la traversee, s occuper des bouteilles de gaz qui, dixit le transitaire – sont autorisees pleines, mais il faut les cacher ??????- remettre les plaques metal qui ferment l habitacle pour eviter les visites..)  Sans compter que j ai eu la bonne idee de me tordre de nouveau la cheville ( la meme !) je sens bien que le ligament a encore pris une bonne dose d etirement et je ne peux aider en rien Samuel. Il aura fallu plusieurs heures pour tout preparer et les hommes iront faire laver le vehicule a 19h pour une somme ouche… Le lendemain, reveil tot, Sam part deposer Bernard au port et donc en langage clair – une journee entiere de paperasses avec des situations ubuesques. A un moment, toute la procedure sera bloquee plusieurs heures car l imprimante est en panne ! on aime. Et celles de secours n’ont plus d’encore…  Au bout de deux heures et demi, et a force de demander aux autorites comment il allait falloir proceder si le reparateur ne reparait pas (le pauvre bossait d arrache-pied) ils ont trouve une alternative … et au final pour un cout modique les photocopies auront ete faites ailleurs. ouf !

Bernardo ( et oui on s adapte aux langues locales) est donc au port de Colon, avec deux autres casas rodantes. On croise les doigts pour que tout se passe bien. Meme si cela peut paraitre disproportionne, j ai un pincement au coeur de le savoir loin de nous – c est notre maison, notre cocon il fait partie de la famille !

Pendant ce temps, Sandra et moi aurons eu en charge les 6 enfants qu il a fallu gerer dans l auberge (merci les dessins animes) heureusement que nous avions loue des dortoirs de 5 avec une cuisine commune une salle tv etc… Ces trois jours n auront pas ete reposants. Enfin c est le jour du  vol pour Carthagene-  a peine 1h pour rallier la Colombie. On doit le dire, les enfants ont reussi la prouesse d etre particulierement infects pendant le trajet en taxi nous amenant a l aeroport, durant l attente dans ce dernier – ok longue l attente…- , le vol aussi et cerise sur le gateau dans le taxi pour l hotel casa relax. Un pur bonheur, on s en souviendra… bref… Carthagène et plus largement, la Colombie, nous voilà !

PS : la photo des lutins calmes cela n’a duré que quelques secondes, le temps de dégainer l’appareil quoi…

 

 

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